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Localisation : Chez les mangeurs de cochon.
Emploi : Sa roule
Date d'inscription : 28/12/2006
Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 13:18
Al-Imâm Ibn al-Djawzî
Ibn ’Aqîl (rahimahullâh) a dit :
Je condamne le soufisme [1] pour des pratiques que la « Charî’ah » désapprouve :
Ils ont fondé des endroits de rassemblement d’inactivité qu’ils appellent « al-Arbita », qu’ils ont remplacé aux mosquées. Ce ne sont ni des mosquées ni des demeures, ni des compartiments. Ils s’y sont installés plutôt que de gagner leur vie et y mènent une vie bestiale en mangeant, buvant, dansant et chantant.
Ils raccommodent leurs vêtements avec des morceaux de tissu en soie colorés, ce qui a attiré les masses. Ils ont séduit les femmes et les jeunes garçons en faisant des dessins sur leurs vêtements. Quand ils pénètrent dans une demeure où se trouvent des femmes, ils n’en ressortent sans avoir perverti les cœurs des femmes contre leur mari. Ils acceptent la nourriture et les dons de la part des oppresseurs, des pervers et des voleurs parmi les collecteurs d’impôts, les soldats et les douaniers. Ils vont en compagnie de beaux garçons aux « Samâ’at » [lieu où ils écoutent les chants et les mélodies]. Ils les amènent dans des rassemblements illuminés par des bougies et se mêlent aux femmes étrangères sous prétexte de les faire habiller d’une « Khirqa » [L’habit de laine du soufi par excellence] et partage l’habit de toute personne en entrant en transe.
Ils appellent la réjouissance musicale extase [Wajd], l’invocation temps [Waqt] et le partage des habits des gens règle [Houkm]. Ils ne sortent d’un lieu où ils ont été invités qu’après avoir imposé une autre invitation et disent que c’est une obligation. Croire à une telle chose est mécréance [Koufr] et sa pratique est perversité [Fisq].
Les soufis croient que chanter au rythme des barres de fer est une forme d’adoration, ainsi qu’il nous est parvenu de leur part que l’invocation lors d’un chant ou d’un groupe est exaucée, mais une telle croyance est aussi mécréance, puisque quiconque croit qu’il peut se rapprocher d’ALLâh via des rites qui sont déconseillés [Makrouh] ou illicite [harâm] devient mécréant [kâfir]. Car de telles conduites sont considérées par les savants comme illicites ou déconseillées.
En outre, les Soufîs abandonnent leur volonté à leurs gourous en disant qu’on ne peut s’opposer à leurs décisions en quoi que ce soit. Ainsi, le SHeikh se trouve au-dessus de tenir des propos blasphématoires de mécréance et d’égarement [dhallâl] qu’ils appellent extase et de faire des actes reconnus par la religion comme perversion.
S’il embrasse un jeune garçon, on dit que c’est une miséricorde, s’il se tient à l’écart avec une femme étrangère, on dit que c’est sa fille qui porte « al-Khirqa » et s’il attribue un habit à une personne autre que son propriétaire et sans accord de ce dernier, on dit que c’est la règle de « al-Khirqa ».
[...]
Les Soufîs sont les premiers à avoir de termes comme « Ceci est la Loi [Charî’a] et cela est la réalité [Haqîqa] », mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce qu’Allâh a prescrit pour le bien de l’humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l’inspiration des « Chayâtine » [Satan]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou’]. Quand ils entendent quelqu’un rapporter un hadîth du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam), ils disent : « Les pauvres ! Ils prennent leur hadîth d’un mort et vers un mort. Tandis que nous prenons le nôtre du Tout Vivant, l’Immortel [al-ladhî lâ yamût] ».
Si quelqu’un dit : « Mon père m’a dit d’après mon grand-père », on lui dira : « Mon cœur m’a dit d’après mon Seigneur ». Ainsi, ils se sont égarés et ont détourné beaucoup de faibles d’esprit, en inventant des légendes et en dépensant pour cela de l’argent.
En réalité, les Jurisconsultes [Fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L’argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l’argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [Zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement [dhallâlahoum] et leur perversité [fassiqahoum]. Certes, la vérité [al-haqq] pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l’argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth [Ashab al-Hadîth]
[...]
Ils n’y a pas plus dangereux pour la « Charî’ah » [Loi Divine] que les gens du « Kalâm » [Rhétorique] et les Soufîs. Les premiers corrompent la foi des gens par des doutes [Choubouhât] dictés par leurs esprits et les derniers pervertissent les actes des gens et cherchent à démolir les fondements et les commandements divins. Ils préfèrent le chômage et l’écoute des chansons.
Quant aux premières générations [Salaf], elles n’étaient pas comme eux, au contraire, elles étaient soumises dans leur dogme [’Aqîda] et étaient actives et consciencieuses.
Mon conseille pour mes frères, c’est de ne pas se faire influencer par les paroles des gens du « Kallâm », et de ne pas prêter l’oreille aux simplicités des Soufîs. Travailler pour gagner sa vie est meilleure que le chômage du Soufisme, et s’attacher aux vérités vaut mieux que d’approfondir des choses copiées à la manière des faux dévots. Ceci étant, nous constatons que le but des gens du Kalâm, est de semer le doute dans les esprits, et celui des Soufîs est de pervertir [...]. [2]
Notes
[1] Les ’Ulémas ont dit que l’Islâm n’a pas connu le nom de « Soufîsme », ni à l’époque du Prophète, ni à celle de ses compagnons et moins encore à l’époque de ceux qui sont venus après les compagnons du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam). L’apparition de ce phénomène a concordé avec l’apparition d’un groupe d’ascètes qui portaient des habits en « Soûf » [laine en arabe], d’où leur surnom de « Soufî ». Certains affirment également que leur nom vient du mot « Soufiyyâh » qui signifie sagesse en grec et non du mot « safâ » qui signifie en arabe la pureté comme certains l’affirment, car l’adjectif dérivé du « Safâ » est « Safâ-î » et nom « Soufî ». Il regroupe plusieurs confréries telles que le Tîdjâniyyah, la Qâdarîyyah, la nakhchabandîyyah, la Châdhalîyyah, la Rifâ’îyyah, etc.
Ibn Taymiyyah (rahimahullâh) de son côté dit : « Les musulmans des premières générations [Salaf] appelaient « al-Qurrâ’ » les hommes de religions et de science ; ce terme rejoint donc à la fois « al-’Ulémâ » et « an-Nussâk ». Puis, à ensuite, le nom « as-Soûfiyyah et Fuqarrâ’ ». [Kitâb « Al-Furqân bayna Awliyâ’ ar-Rahmân wa Awliyâ’ ach-Chaytân » - p.129].
[2] Kitâb « Talbîs Iblîs » de Ibn al-Djawzî, p.384-385
Quelques pratique soufis(Qu'Allah nous en preserve):
-https://www.youtube.com/watch?v=afAcgMQQQl8&eurl=
-https://www.youtube.com/watch?v=FCHQtZvd3No&eurl=
Ibn ’Aqîl (rahimahullâh) a dit :
Je condamne le soufisme [1] pour des pratiques que la « Charî’ah » désapprouve :
Ils ont fondé des endroits de rassemblement d’inactivité qu’ils appellent « al-Arbita », qu’ils ont remplacé aux mosquées. Ce ne sont ni des mosquées ni des demeures, ni des compartiments. Ils s’y sont installés plutôt que de gagner leur vie et y mènent une vie bestiale en mangeant, buvant, dansant et chantant.
Ils raccommodent leurs vêtements avec des morceaux de tissu en soie colorés, ce qui a attiré les masses. Ils ont séduit les femmes et les jeunes garçons en faisant des dessins sur leurs vêtements. Quand ils pénètrent dans une demeure où se trouvent des femmes, ils n’en ressortent sans avoir perverti les cœurs des femmes contre leur mari. Ils acceptent la nourriture et les dons de la part des oppresseurs, des pervers et des voleurs parmi les collecteurs d’impôts, les soldats et les douaniers. Ils vont en compagnie de beaux garçons aux « Samâ’at » [lieu où ils écoutent les chants et les mélodies]. Ils les amènent dans des rassemblements illuminés par des bougies et se mêlent aux femmes étrangères sous prétexte de les faire habiller d’une « Khirqa » [L’habit de laine du soufi par excellence] et partage l’habit de toute personne en entrant en transe.
Ils appellent la réjouissance musicale extase [Wajd], l’invocation temps [Waqt] et le partage des habits des gens règle [Houkm]. Ils ne sortent d’un lieu où ils ont été invités qu’après avoir imposé une autre invitation et disent que c’est une obligation. Croire à une telle chose est mécréance [Koufr] et sa pratique est perversité [Fisq].
Les soufis croient que chanter au rythme des barres de fer est une forme d’adoration, ainsi qu’il nous est parvenu de leur part que l’invocation lors d’un chant ou d’un groupe est exaucée, mais une telle croyance est aussi mécréance, puisque quiconque croit qu’il peut se rapprocher d’ALLâh via des rites qui sont déconseillés [Makrouh] ou illicite [harâm] devient mécréant [kâfir]. Car de telles conduites sont considérées par les savants comme illicites ou déconseillées.
En outre, les Soufîs abandonnent leur volonté à leurs gourous en disant qu’on ne peut s’opposer à leurs décisions en quoi que ce soit. Ainsi, le SHeikh se trouve au-dessus de tenir des propos blasphématoires de mécréance et d’égarement [dhallâl] qu’ils appellent extase et de faire des actes reconnus par la religion comme perversion.
S’il embrasse un jeune garçon, on dit que c’est une miséricorde, s’il se tient à l’écart avec une femme étrangère, on dit que c’est sa fille qui porte « al-Khirqa » et s’il attribue un habit à une personne autre que son propriétaire et sans accord de ce dernier, on dit que c’est la règle de « al-Khirqa ».
[...]
Les Soufîs sont les premiers à avoir de termes comme « Ceci est la Loi [Charî’a] et cela est la réalité [Haqîqa] », mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce qu’Allâh a prescrit pour le bien de l’humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l’inspiration des « Chayâtine » [Satan]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou’]. Quand ils entendent quelqu’un rapporter un hadîth du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam), ils disent : « Les pauvres ! Ils prennent leur hadîth d’un mort et vers un mort. Tandis que nous prenons le nôtre du Tout Vivant, l’Immortel [al-ladhî lâ yamût] ».
Si quelqu’un dit : « Mon père m’a dit d’après mon grand-père », on lui dira : « Mon cœur m’a dit d’après mon Seigneur ». Ainsi, ils se sont égarés et ont détourné beaucoup de faibles d’esprit, en inventant des légendes et en dépensant pour cela de l’argent.
En réalité, les Jurisconsultes [Fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L’argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l’argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [Zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement [dhallâlahoum] et leur perversité [fassiqahoum]. Certes, la vérité [al-haqq] pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l’argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth [Ashab al-Hadîth]
[...]
Ils n’y a pas plus dangereux pour la « Charî’ah » [Loi Divine] que les gens du « Kalâm » [Rhétorique] et les Soufîs. Les premiers corrompent la foi des gens par des doutes [Choubouhât] dictés par leurs esprits et les derniers pervertissent les actes des gens et cherchent à démolir les fondements et les commandements divins. Ils préfèrent le chômage et l’écoute des chansons.
Quant aux premières générations [Salaf], elles n’étaient pas comme eux, au contraire, elles étaient soumises dans leur dogme [’Aqîda] et étaient actives et consciencieuses.
Mon conseille pour mes frères, c’est de ne pas se faire influencer par les paroles des gens du « Kallâm », et de ne pas prêter l’oreille aux simplicités des Soufîs. Travailler pour gagner sa vie est meilleure que le chômage du Soufisme, et s’attacher aux vérités vaut mieux que d’approfondir des choses copiées à la manière des faux dévots. Ceci étant, nous constatons que le but des gens du Kalâm, est de semer le doute dans les esprits, et celui des Soufîs est de pervertir [...]. [2]
Notes
[1] Les ’Ulémas ont dit que l’Islâm n’a pas connu le nom de « Soufîsme », ni à l’époque du Prophète, ni à celle de ses compagnons et moins encore à l’époque de ceux qui sont venus après les compagnons du Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam). L’apparition de ce phénomène a concordé avec l’apparition d’un groupe d’ascètes qui portaient des habits en « Soûf » [laine en arabe], d’où leur surnom de « Soufî ». Certains affirment également que leur nom vient du mot « Soufiyyâh » qui signifie sagesse en grec et non du mot « safâ » qui signifie en arabe la pureté comme certains l’affirment, car l’adjectif dérivé du « Safâ » est « Safâ-î » et nom « Soufî ». Il regroupe plusieurs confréries telles que le Tîdjâniyyah, la Qâdarîyyah, la nakhchabandîyyah, la Châdhalîyyah, la Rifâ’îyyah, etc.
Ibn Taymiyyah (rahimahullâh) de son côté dit : « Les musulmans des premières générations [Salaf] appelaient « al-Qurrâ’ » les hommes de religions et de science ; ce terme rejoint donc à la fois « al-’Ulémâ » et « an-Nussâk ». Puis, à ensuite, le nom « as-Soûfiyyah et Fuqarrâ’ ». [Kitâb « Al-Furqân bayna Awliyâ’ ar-Rahmân wa Awliyâ’ ach-Chaytân » - p.129].
[2] Kitâb « Talbîs Iblîs » de Ibn al-Djawzî, p.384-385
Quelques pratique soufis(Qu'Allah nous en preserve):
-https://www.youtube.com/watch?v=afAcgMQQQl8&eurl=
-https://www.youtube.com/watch?v=FCHQtZvd3No&eurl=
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Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 13:28
Les tturûq (voies), les awrâd et les paroles soufies ...
QUESTION :
[Quel est le] statut [religieux à l’égard] des voies (tturuq) soufis et des awrâd [1] qu’ils ont régularisés (nazzamûhâ) [2] et ont arrangés (rattabûhâ) [3] avant [chaque] prière d’al-fadjr et après la prière d’al-maghrab, et le statut [religieux sur la personne] de celui qui prétend avoir vu le Prophète [sallâ-l-lâhu ‘alayhi wa sallam] [en état] d’éveil (yaqzah), [affirmant] qu’il l’a salué par sa parole-ci : « Que le salut soit sur toi ô œil des yeux et âme des âmes » ?
La louange revient à Allâh l’Unique et que la prière et le salut soient sur Son Messager, sa famille et [tous] ses compagnons... et puis :
REPONSE :
Les voies (tturuq) [soufis] et leur awrâd que tu as mentionné, [sont] des voies et des awrâd nouvellement innovées. Et parmi cet ensemble [il y a] la voie (tarîqah) « at-tidjânîyyah » et « al-kitânîyyah » et il est [seulement] légiféré (yachra’) de leur awrâd si ce n’est ce qui concorde (wâfaqa) avec le Livre [d’Allâh] et la Sunnah Authentique.
Quant à ce qu’il a mentionné dans la question que certaines personnes entrèrent chez Al-Kitânî [4] et qu’il aurait vu le Prophète à son côté (bidjiwârih) [en état] d’éveil et qu’il dit : « Que le salut soit sur toi ô œil des yeux... etc » ceci est nul (bâtil) et il n’y a aucune origine (asl) et le Prophète [sallâ-l-lâhu ‘alayhi wa sallam] ne peut être vu après sa mort [en état] d’éveil (yaqzah) et il ne peut en aucun cas, sortir de sa tombe (qabrih) si ce n’est qu’au jour de la Résurrection comme l’a dit Allâh -glorifié soit-Il- :
(Et puis, après cela vous mourrez. 16 Et puis au Jour de la Résurrection vous serez ressuscités. )
(Coran : Al-Mu-minûn 23/15-16)
et le Prophète [sallâ-l-lâhu ‘alayhi wa sallam] a dit :
« Je serai le maître (sayyid) des Fils d’Âdam le Jour de la Résurrection et le premier (awwal) dont la terre se fendra sur sa tombe [5]. » [6].
Et par Allâh vient le succès et que la prière et le salut d’Allâh soient sur notre Prophète Muhammad, sa famille et [tous] ses Compagnons.
__________
[1] : Pluriel de wird. C’est des formules de dhikr souvent imprégnés de polythéisme, de mécréance, d’exagération... Chaque tturuq/voie soufi à son propre wird et certains des fondateurs des tturuq disent recevoir leur wird directement du Messager d’Allâh comme Ahmadou Bamba fondateur de la secte mourid au Sénégal... !!!
[2] : Du verbe arabe : « nazzama ».
[3] : Du verbe arabe : « rattaba ».
[4] : Il est le fondateur de la secte kitânîyyah.
[5] : Pour qu’il puisse sortir. Cela se passera au moment de la Résurrection.
[6] : Rapporté par L’Imâm Muslim dans : « al-fadâ il/les mérites » n°2278.
AUTEUR :
Le Comité Permanent pour les Recherches Scientifiques et la Fatwâ (2/184).
SOURCE :« Fatâwâ ‘ulamâ- al-balad al-harâm » de plusieurs ‘ulamâ-. Page 1016. Chapitre 20 : « Les innovations et la mise en garde à leur sujet. »
QUESTION :
[Quel est le] statut [religieux à l’égard] des voies (tturuq) soufis et des awrâd [1] qu’ils ont régularisés (nazzamûhâ) [2] et ont arrangés (rattabûhâ) [3] avant [chaque] prière d’al-fadjr et après la prière d’al-maghrab, et le statut [religieux sur la personne] de celui qui prétend avoir vu le Prophète [sallâ-l-lâhu ‘alayhi wa sallam] [en état] d’éveil (yaqzah), [affirmant] qu’il l’a salué par sa parole-ci : « Que le salut soit sur toi ô œil des yeux et âme des âmes » ?
La louange revient à Allâh l’Unique et que la prière et le salut soient sur Son Messager, sa famille et [tous] ses compagnons... et puis :
REPONSE :
Les voies (tturuq) [soufis] et leur awrâd que tu as mentionné, [sont] des voies et des awrâd nouvellement innovées. Et parmi cet ensemble [il y a] la voie (tarîqah) « at-tidjânîyyah » et « al-kitânîyyah » et il est [seulement] légiféré (yachra’) de leur awrâd si ce n’est ce qui concorde (wâfaqa) avec le Livre [d’Allâh] et la Sunnah Authentique.
Quant à ce qu’il a mentionné dans la question que certaines personnes entrèrent chez Al-Kitânî [4] et qu’il aurait vu le Prophète à son côté (bidjiwârih) [en état] d’éveil et qu’il dit : « Que le salut soit sur toi ô œil des yeux... etc » ceci est nul (bâtil) et il n’y a aucune origine (asl) et le Prophète [sallâ-l-lâhu ‘alayhi wa sallam] ne peut être vu après sa mort [en état] d’éveil (yaqzah) et il ne peut en aucun cas, sortir de sa tombe (qabrih) si ce n’est qu’au jour de la Résurrection comme l’a dit Allâh -glorifié soit-Il- :
(Et puis, après cela vous mourrez. 16 Et puis au Jour de la Résurrection vous serez ressuscités. )
(Coran : Al-Mu-minûn 23/15-16)
et le Prophète [sallâ-l-lâhu ‘alayhi wa sallam] a dit :
« Je serai le maître (sayyid) des Fils d’Âdam le Jour de la Résurrection et le premier (awwal) dont la terre se fendra sur sa tombe [5]. » [6].
Et par Allâh vient le succès et que la prière et le salut d’Allâh soient sur notre Prophète Muhammad, sa famille et [tous] ses Compagnons.
__________
[1] : Pluriel de wird. C’est des formules de dhikr souvent imprégnés de polythéisme, de mécréance, d’exagération... Chaque tturuq/voie soufi à son propre wird et certains des fondateurs des tturuq disent recevoir leur wird directement du Messager d’Allâh comme Ahmadou Bamba fondateur de la secte mourid au Sénégal... !!!
[2] : Du verbe arabe : « nazzama ».
[3] : Du verbe arabe : « rattaba ».
[4] : Il est le fondateur de la secte kitânîyyah.
[5] : Pour qu’il puisse sortir. Cela se passera au moment de la Résurrection.
[6] : Rapporté par L’Imâm Muslim dans : « al-fadâ il/les mérites » n°2278.
AUTEUR :
Le Comité Permanent pour les Recherches Scientifiques et la Fatwâ (2/184).
SOURCE :« Fatâwâ ‘ulamâ- al-balad al-harâm » de plusieurs ‘ulamâ-. Page 1016. Chapitre 20 : « Les innovations et la mise en garde à leur sujet. »
- Predateur
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Localisation : Chez les mangeurs de cochon.
Emploi : Sa roule
Date d'inscription : 28/12/2006
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 13:30
La signification du terme : « soufisme/as-sûfîyyah » ...
QUESTION :
Un problème [concernant] la signification [du terme] : « soufisme » [...] ?
La louange revient à Allâh l’Unique et que la prière et le salut soient sur Son Messager, sa famille et [tous] ses compagnons... et puis :
REPONSE :
Il est dit que [les gens du] « soufisme » (as-sûfîyyah) ont pour origine (nasabû) [le terme] : « as-suffah » de par la ressemblance [de ses adeptes] a une partie des compagnons [radiya-llâhu ‘anhum] qui étaient très pauvres et étaient retirés (ya- wûn) [1] [en un lieu qui s’appelait] « as-suffah » dans la Mosquée Prophétique et cela n’est pas authentique (laysa bisahîh). [Quant au terme démontrant] l’appartenance à « as-suffah » [est] « suffîyyun » avec une chaddah sur la [lettre] « fâ » et sur le « yâ » [et en plus, le mot n’a] aucun « waw ». [Egalement,] il est dit qu’ils ont pour origine [le terme] : « safwah/l’élite » de par la pureté de leur cœur et de leurs oeuvres et ceci une faute pareillement car l’appartenance à « safwah/l’élite » [est le terme] « safwî ». Aussi, les innovations et la corruption du dogme a prévalu chez eux (les soufis). Il est dit qu’ils ont pour origine [le terme] « as-sûf/la laine » car cela était leur caractéristique (emblème/chi’âr) vestimentaire ; ceci, est [plus] proche de la langue [arabe, ainsi] que des faits et de la réalité (wâqi’ihim).
Et par Allâh vient le succès et que la prière et le salut d’Allâh soient sur notre Prophète Muhammad, sa famille et [tous] ses compagnons.
__________
[1] : Du verbe arabe : « awâ/se retirer quelque part »
AUTEUR :
Le Comité Permanent pour les Recherches Scientifiques et la Fatwâ (2/186).
SOURCE :
« Fatâwâ ‘ulamâ- al-balad al-harâm » de plusieurs ‘ulamâ-. Page 1015. Chapitre 19 : « Les innovations et la mise en garde à leur sujet. »
QUESTION :
Un problème [concernant] la signification [du terme] : « soufisme » [...] ?
La louange revient à Allâh l’Unique et que la prière et le salut soient sur Son Messager, sa famille et [tous] ses compagnons... et puis :
REPONSE :
Il est dit que [les gens du] « soufisme » (as-sûfîyyah) ont pour origine (nasabû) [le terme] : « as-suffah » de par la ressemblance [de ses adeptes] a une partie des compagnons [radiya-llâhu ‘anhum] qui étaient très pauvres et étaient retirés (ya- wûn) [1] [en un lieu qui s’appelait] « as-suffah » dans la Mosquée Prophétique et cela n’est pas authentique (laysa bisahîh). [Quant au terme démontrant] l’appartenance à « as-suffah » [est] « suffîyyun » avec une chaddah sur la [lettre] « fâ » et sur le « yâ » [et en plus, le mot n’a] aucun « waw ». [Egalement,] il est dit qu’ils ont pour origine [le terme] : « safwah/l’élite » de par la pureté de leur cœur et de leurs oeuvres et ceci une faute pareillement car l’appartenance à « safwah/l’élite » [est le terme] « safwî ». Aussi, les innovations et la corruption du dogme a prévalu chez eux (les soufis). Il est dit qu’ils ont pour origine [le terme] « as-sûf/la laine » car cela était leur caractéristique (emblème/chi’âr) vestimentaire ; ceci, est [plus] proche de la langue [arabe, ainsi] que des faits et de la réalité (wâqi’ihim).
Et par Allâh vient le succès et que la prière et le salut d’Allâh soient sur notre Prophète Muhammad, sa famille et [tous] ses compagnons.
__________
[1] : Du verbe arabe : « awâ/se retirer quelque part »
AUTEUR :
Le Comité Permanent pour les Recherches Scientifiques et la Fatwâ (2/186).
SOURCE :
« Fatâwâ ‘ulamâ- al-balad al-harâm » de plusieurs ‘ulamâ-. Page 1015. Chapitre 19 : « Les innovations et la mise en garde à leur sujet. »
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 15:40
Question :
Quelle est la place du soufisme dans l’Islam ? Quelle est la part de vérité dans les propos de certains qui affirment qu’il y’a des serviteurs d’Allah et des saints qui sont en relation directe avec Allah. Certaines personnes croient à ce phénomène et pensent qu’il en existe des preuves dans les différentes religions et multiples coins du monde.
En quoi consiste la vision de ceux qui se déclarent être soufis ou disciples de soufis ?
La prière et l’invocation ne sont-elles pas une manière d’entrer en relation avec Allah , qu’il soit loué ?
Quelle est la place du soufisme dans l’Islam ? Quelle est la part de vérité dans les propos de certains qui affirment qu’il y’a des serviteurs d’Allah et des saints qui sont en relation directe avec Allah. Certaines personnes croient à ce phénomène et pensent qu’il en existe des preuves dans les différentes religions et multiples coins du monde.
En quoi consiste la vision de ceux qui se déclarent être soufis ou disciples de soufis ?
La prière et l’invocation ne sont-elles pas une manière d’entrer en relation avec Allah , qu’il soit loué ?
Réponse :
Louange à Allah
L’Islam n’a pas connu le nom de soufisme ni à l’époque du Prophète , ni à celle de ses compagnons et moins à l’époque de ceux qui sont venus après les compagnons du Prophète. L’avènement de ce phénomène a coïncidé avec l’apparition d’un groupe d’ascètes qui portaient des habits en « souf »(laine en arabe), d’où leur surnom de soufi. Certains affirment également que leur nom vient du mot Sophia qui signifie sagesse en grec et non du mot « safâ » qui signifie en arabe la pureté comme certains l’affirment, car l’adjectif dérivé du « Safâ » est « Safâî » et nom « Soufî ».
L’apparition de ce nouveau nom ainsi que la catégorie qui le porte a aggravé les dissensions entre les musulmans. Les premiers soufis sont différents des derniers qui ont fait preuve d’hérésie et d’actes d’idolâtrie. Le Prophète nous a mis en garde contre leurs actes hérétiques en disant : « gardez-vous des pratiques nouvellement inventées, car toute pratique cultuelle inventée est un acte hérétique et que tout acte hérétique est un égarement » (rapporté par at-Tirmîdhî qui a dit que c’est un hadith authentique).
a suivre
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 15:47
Voici une comparaison entre les pratiques du soufisme et l’Islam fondé sur le Coran et la Sunna :
Le soufisme :
Il regroupe plusieurs confréries telles que le tidjanisme, la qadriya, la nakhchabandiya, la chadhliya, la rifaiya, etc. chacune de ces confrérie prétend détenir la vérité et accuse les autres de s’être égarées. Or, l’Islam interdit la ségrégation. Allah, le Tout-Puissant dit « Revenez repentants vers Lui; craignez- Le, accomplissez la Salâ et ne soyez pas parmi les associateurs, parmi ceux qui ont divisé leur religion et sont devenus des sectes, chaque parti exultant de ce qu' il détenait. » ( Coran, 30 : 31-32)
Les soufis et leurs disciples ont adoré les prophètes et les saints vivants ou morts à la place d’Allah. Ils disent : ( ô Djaylanî, ô Rifa’î ou ô envoyé d’Allah assistez-nous ; ô envoyé d’Allah vous êtes notre appui).
Or, Allah interdit l’invocation d’un tiers pour la réalisation d’une chose que lui seule est capable de réaliser et le considère comme un acte d’association. Il dit « et n' invoque pas, en dehors d' Allah, ce qui ne peut te profiter ni te nuire. Et si tu le fais, tu seras alors du nombre des injustes". » ( Coran , 10 :106)
Ils pensent également qu’il y a des Badal, des Qutb et des Wali (catégories de saints) à qui Allah a confié la marche des chose. Allah fait part de la réponse des idolâtres lorsqu’il leur demande « Dis: "Qui vous attribue de la nourriture du ciel et de la terre? Qui détient l' ouïe et la vue, et qui fait sortir le vivant du mort et fait sortir le mort du vivant, et qui administre tout?", Ils diront: "Allah". Dis alors: "Ne Le craignez- vous donc pas?" » ( Coran, 10 :31). Les idolâtres arabes connaissent mieux Allah que ces soufis.
Ils cherchent aussi refuge auprès de quelqu’un d’autre qu’Allah lorsqu’il leur arrive un malheur. Or Allah dit : « Et si Allah fait qu' un mal te touche, nul ne peut l' écarter en dehors de Lui. Et s' Il te veut un bien, nul ne peut repousser Sa grâce. Il en gratifie qui Il veut parmi Ses serviteurs. Et c' est Lui le Pardonneur, le Miséricordieux.. » ( Coran, 10 :107)
Certains soufis croient à l’unicité de l’être. Pour eux il n’y a pas de créateur et de créature. Tout est créature et créateur.
Les soufis appellent à une vie frugale, à l’inertie et à l’abandon du djihad. Or Allah, le Très-Haut dit : « Et recherche à travers ce qu' Allah t' a donné, la Demeure dernière. Et n' oublie pas ta part en cette vie. Et sois bienfaisant comme Allah a été bienfaisant envers toi. Et ne recherche pas la corruption sur terre. Car Allah n' aime point les corrupteurs". » ( Coran, 28 : 77 ), et « Et préparez (pour lutter) contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d' effrayer l' ennemi d' Allah et le vôtre, et d' autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu' Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d' Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés. » (Coran, 8 :60).
Les soufis attribuent la grade de Ihsan ( adorer Allah comme si on Le voyait) à leurs guides qui demandent aux disciples de les avoir à l’esprit lorsqu’ils invoquent Allah et même au moment de leur prière. Aussi certains d’entre eux mettaient –ils devant eux la photo de leur maître au moment de prier. Le Prophète a dit : « Al-Ihsan c’est adorer Allah comme si tu Le voyais, car même si tu ne Le voit pas, Lui Il te voit » . (rapporté par Mouslim).
Les soufis autorisent la danse, les tam-tam, les flûtes et les invocations à haute voix. Or Allah, le Tout-Puissant dit « Ceux qui accomplissent la Salâ et qui dépensent (dans le sentier d' Allah) de ce que Nous leur avons attribué. » (Coran, 8 : 3)
Vous les voyez également prononcer le mot « Allah » en disant : Allah, Allah, Allah tout simplement. Or ceci est un acte hérétique, des paroles inutiles du point de vue de la Charia. Ils en arrivent même à dire : Ah, Ah, Ah ou Houwa, Houwa. Dans l’Islam, si le musulman invoque son Seigneur par des noms adéquats tels que ( soubhana lahi wal hamdou lilahi wa la illaha illa lah wal lahou akbar) Allah l’en récompensera.
a suivre
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 15:54
Les soufis scandent le nom des femmes et des enfants et chantent l’amour et la passion lors des séances d’invocation, comme s’ils se trouvaient dans des endroits de gaieté où il y a de la danse accompagnée d’applaudissement et de cris et où coule à profusion l’alcool. C’est là, une pure tradition des polythéistes. Allah dit : « Et leur prière, auprès de la Maison, n' est que sifflement et battements de mains: "Goûtez donc au châtiment, à cause de votre mécréance!". » (Coran, 8 : 35).
Certains sufis se donnent des coups de coupe-coupe, en criant « Ô grand-père » et Satan leur vient en aide, car ils ont cherché secours auprès de quelqu’un d’autre qu’Allah . Allah dit : « Tout ce qui vous a été donné (comme bien) n' est que jouissance de la vie présente; mais ce qui est auprès d' Allah est meilleur et plus durable pour ceux qui ont cru et qui placent leur confiance en leur Seigneur, » ( Coran, 42 :36)
Les soufis prétendent être illuminés et détenir la science de l’invisible. Mais le Coran les a démentis ; Allah dit : « Dis: "Nul de ceux qui sont dans les cieux et sur la terre ne connaît l' Inconnaissable, à part Allah". Et ils ne savent pas quand ils seront ressuscités! » (Coran, 27 :65)
Ils pensent également qu’Allah a crée le monde pour le Prophète , mais le Coran les a démenti ; Allah dit : « Je n' ai créé les djinns et les hommes que pour qu' ils M' adorent. » (Coran, 51 :56)
Allah s’est également adressé à son prophète en lui disant : « et adore ton Seigneur jusqu'à ce que te vienne la certitude (la mort). » ( Coran, 15 :99).
Les soufis croient à la possibilité de voir Allah ici-bas, mais le Coran les a démentis lorsqu’il dit au nom de Moise : « Et lorsque Moïse vint à Notre rendez-vous et que son Seigneur lui eut parlé, il dit: "Ô mon Seigneur, montre Toi à moi pour que je Te voie!" Il dit: "Tu ne Me verras pas; mais regarde le Mont: s' il tient en sa place, alors tu Me verras." Mais lorsque son Seigneur Se manifesta au Mont, Il le pulvérisa, et Moïse s' effondra foudroyé. Lorsqu' il se fut remis, il dit: "Gloire à Toi! Ô Toi je me repens; et je suis le premier des croyants". » ( Coran 7 : 143)
Les soufis pensent qu’ils reçoivent leur savoir directement d’Allah , sans l’intermédiaire du Prophète et en état d’éveil. Sont-ils meilleurs que les compagnons du Prophète ?
Les soufis pensent qu’ils reçoivent leur savoir directement d’Allah, sans l’intermédiaire du Prophète et en état d’éveil. Ils disent également des choses telles que : mon cœur m’a parlé de mon Seigneur.
Ils organisent des cérémonies de prière pour célébrer la naissance du Prophète au cours des quelles ils élèvent leur voix pour faire des invocations, chanter et scander des poèmes truffés de paroles d’idolâtrie. Qui du Prophète , d’Abu Bakr, d’Omar, d’Outhmane, d’Ali, des quatre fondateurs des écoles juridiques et autres a – il célébré sa naissance ? Qui des Soufis ou de ces gens sont plus savants en matière de pratiques cultuelles ?
a suivre
Certains sufis se donnent des coups de coupe-coupe, en criant « Ô grand-père » et Satan leur vient en aide, car ils ont cherché secours auprès de quelqu’un d’autre qu’Allah . Allah dit : « Tout ce qui vous a été donné (comme bien) n' est que jouissance de la vie présente; mais ce qui est auprès d' Allah est meilleur et plus durable pour ceux qui ont cru et qui placent leur confiance en leur Seigneur, » ( Coran, 42 :36)
Les soufis prétendent être illuminés et détenir la science de l’invisible. Mais le Coran les a démentis ; Allah dit : « Dis: "Nul de ceux qui sont dans les cieux et sur la terre ne connaît l' Inconnaissable, à part Allah". Et ils ne savent pas quand ils seront ressuscités! » (Coran, 27 :65)
Ils pensent également qu’Allah a crée le monde pour le Prophète , mais le Coran les a démenti ; Allah dit : « Je n' ai créé les djinns et les hommes que pour qu' ils M' adorent. » (Coran, 51 :56)
Allah s’est également adressé à son prophète en lui disant : « et adore ton Seigneur jusqu'à ce que te vienne la certitude (la mort). » ( Coran, 15 :99).
Les soufis croient à la possibilité de voir Allah ici-bas, mais le Coran les a démentis lorsqu’il dit au nom de Moise : « Et lorsque Moïse vint à Notre rendez-vous et que son Seigneur lui eut parlé, il dit: "Ô mon Seigneur, montre Toi à moi pour que je Te voie!" Il dit: "Tu ne Me verras pas; mais regarde le Mont: s' il tient en sa place, alors tu Me verras." Mais lorsque son Seigneur Se manifesta au Mont, Il le pulvérisa, et Moïse s' effondra foudroyé. Lorsqu' il se fut remis, il dit: "Gloire à Toi! Ô Toi je me repens; et je suis le premier des croyants". » ( Coran 7 : 143)
Les soufis pensent qu’ils reçoivent leur savoir directement d’Allah , sans l’intermédiaire du Prophète et en état d’éveil. Sont-ils meilleurs que les compagnons du Prophète ?
Les soufis pensent qu’ils reçoivent leur savoir directement d’Allah, sans l’intermédiaire du Prophète et en état d’éveil. Ils disent également des choses telles que : mon cœur m’a parlé de mon Seigneur.
Ils organisent des cérémonies de prière pour célébrer la naissance du Prophète au cours des quelles ils élèvent leur voix pour faire des invocations, chanter et scander des poèmes truffés de paroles d’idolâtrie. Qui du Prophète , d’Abu Bakr, d’Omar, d’Outhmane, d’Ali, des quatre fondateurs des écoles juridiques et autres a – il célébré sa naissance ? Qui des Soufis ou de ces gens sont plus savants en matière de pratiques cultuelles ?
a suivre
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 16:02
Les soufis visitent les tombes pour gagner les bénédictions de ceux qui s’y trouvent, pour tourner au tour ou pour leur faire des sacrifices, en violation des propos du Prophète lorsqu’il dit « ne rendez visite qu’à trois mosquées, la Mosquée sacrée, ma mosquée et celle d’Al-Aqsâ ». (rapporté par Boukhari et Mouslime.
Ils se montrent fanatiques envers leurs maître, même si c’est en violation des ordres d’Allah et de son Messager .Allah, le Tout-Puissant dit : « Ô vous qui avez cru! Ne devancez pas Allah et Son messager. Et craignez Allah. Allah est Audient et Omniscient. » ( Coran, 49 : 1)
Les soufis utilisent des figures magiques, des lettres et des chiffres pour consulter le sort et pour fabriquer des gris-gris, des amulettes etc.
Les soufis ne se limitent pas aux prières et invocations rapportées du Prophète ; Bien au contraire. Ils inventent des prières sur le Prophète truffés de paroles d’idolâtrie par les quelles ils cherchent à être bénis. Mais celui pour qui ils le font n’en est pas d’accord.
En outre, l’accès des Cheikhs soufis est direct au Satan, mais pas à Allah . Ils s’inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées. Or Allah dit : « Ainsi, à chaque prophète avons- Nous assigné un ennemi: des diables d' entre les hommes et les djinns, qui s' inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées. Si ton Seigneur avait voulu, ils ne l' auraient pas fait; laisse- les donc avec ce qu' ils inventent. » ( Coran, 6 :112) ; il dit également « Et ne mangez pas de ce sur quoi le nom d' Allah n' a pas été prononcé, car ce serait (assurément) une perversité. Les diables inspirent à leurs alliés de disputer avec vous. Si vous leur obéissez, vous deviendrez certes des associateurs. » (Coran, 6 : 121) et : « Vous apprendrai- Je sur qui les diables descendent? Ils descendent sur tout calomniateur, pécheur.. » (Coran, 26 :121-122).
C’est là le véritable accès qui a lieu, mais pas l’accès à Allah qu’ils croient à tort. Allah s’élève largement au-dessus de tout cela. Voir Mu’jam Al-Bid’, p346-359.
Certains Cheikhs soufis disparaissent parfois des regards de leurs disciples ; mais ceci est le fait du Satan qui les amène peut être à des endroits lointains et les ramène le même jour pour les tromper.
En conséquence, la règle est que nous ne mesurons pas le poids des personnes en rapport aux prodiges qu’ils accomplissent, mais par rapport à leur attachement ou leur éloignement des enseignements du Coran et de la Sunna. Les véritables saints ne sont pas forcément ceux qui accomplissent des prodiges, mais ce sont ceux qui adorent Allah conformément à ses lois et non en faisant recours à l’hérésie, ceux qu’Allah a évoqué dans le hadith qudsî suivant rapporté par Boukhari dans « le Sahih 5/2384 » d’après Abu Hourayrata et où le Prophète dit : ( Allah a dit : je déclare la guerre à tous ceux qui se montrent hostiles à un saint et qu’un serviteur ne peut se rapprocher de moi par une voie meilleure que celle que j’ai tracée. Le serviteur ne cesse de m’adorer jusqu’à ce que je l’aime, et lorsque je fini par l’aimer, je deviens l’oreille par laquelle il entend, l’œil par lequel il voit, le bras par lequel il agit et la jambe par laquelle il marche ; exauce ses prières et l’accueille lorsqu’il cherche refuge auprès de moi ». Allah seul est garant du succès et conduit vers le droit chemin.
Islam Q&A
Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid (www.islam-qa.com)
Ils se montrent fanatiques envers leurs maître, même si c’est en violation des ordres d’Allah et de son Messager .Allah, le Tout-Puissant dit : « Ô vous qui avez cru! Ne devancez pas Allah et Son messager. Et craignez Allah. Allah est Audient et Omniscient. » ( Coran, 49 : 1)
Les soufis utilisent des figures magiques, des lettres et des chiffres pour consulter le sort et pour fabriquer des gris-gris, des amulettes etc.
Les soufis ne se limitent pas aux prières et invocations rapportées du Prophète ; Bien au contraire. Ils inventent des prières sur le Prophète truffés de paroles d’idolâtrie par les quelles ils cherchent à être bénis. Mais celui pour qui ils le font n’en est pas d’accord.
En outre, l’accès des Cheikhs soufis est direct au Satan, mais pas à Allah . Ils s’inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées. Or Allah dit : « Ainsi, à chaque prophète avons- Nous assigné un ennemi: des diables d' entre les hommes et les djinns, qui s' inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées. Si ton Seigneur avait voulu, ils ne l' auraient pas fait; laisse- les donc avec ce qu' ils inventent. » ( Coran, 6 :112) ; il dit également « Et ne mangez pas de ce sur quoi le nom d' Allah n' a pas été prononcé, car ce serait (assurément) une perversité. Les diables inspirent à leurs alliés de disputer avec vous. Si vous leur obéissez, vous deviendrez certes des associateurs. » (Coran, 6 : 121) et : « Vous apprendrai- Je sur qui les diables descendent? Ils descendent sur tout calomniateur, pécheur.. » (Coran, 26 :121-122).
C’est là le véritable accès qui a lieu, mais pas l’accès à Allah qu’ils croient à tort. Allah s’élève largement au-dessus de tout cela. Voir Mu’jam Al-Bid’, p346-359.
Certains Cheikhs soufis disparaissent parfois des regards de leurs disciples ; mais ceci est le fait du Satan qui les amène peut être à des endroits lointains et les ramène le même jour pour les tromper.
En conséquence, la règle est que nous ne mesurons pas le poids des personnes en rapport aux prodiges qu’ils accomplissent, mais par rapport à leur attachement ou leur éloignement des enseignements du Coran et de la Sunna. Les véritables saints ne sont pas forcément ceux qui accomplissent des prodiges, mais ce sont ceux qui adorent Allah conformément à ses lois et non en faisant recours à l’hérésie, ceux qu’Allah a évoqué dans le hadith qudsî suivant rapporté par Boukhari dans « le Sahih 5/2384 » d’après Abu Hourayrata et où le Prophète dit : ( Allah a dit : je déclare la guerre à tous ceux qui se montrent hostiles à un saint et qu’un serviteur ne peut se rapprocher de moi par une voie meilleure que celle que j’ai tracée. Le serviteur ne cesse de m’adorer jusqu’à ce que je l’aime, et lorsque je fini par l’aimer, je deviens l’oreille par laquelle il entend, l’œil par lequel il voit, le bras par lequel il agit et la jambe par laquelle il marche ; exauce ses prières et l’accueille lorsqu’il cherche refuge auprès de moi ». Allah seul est garant du succès et conduit vers le droit chemin.
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Date d'inscription : 28/12/2006
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Ven 29 Déc 2006 - 16:32
Barakallahufik mbacke pour les precision suplementaire que tu as apporté sur cette secte.Cela nous permet de mieux voir l'egarement de ce groupe.Qu'Allah nous en preserve et qu'il nous guide tous.Amine
- abou_mariam
- Nombre de messages : 43
Date d'inscription : 27/12/2006
Re: Une sectes parmis d'autre:« Le Soufisme » selon Ibn ’Aqîl.
Mar 2 Jan 2007 - 10:51
Certainement je n'ai jamais vu pire secte que le soufisme. Il regroupe en elle seule toutes les déviations de toutes les autres sectes: schisme, habachis, mourji'a, quadria.
Par Allah il n'est pas pire secte que je déteste autant car ayant grandi dedans.
Par Allah il n'est pas pire secte que je déteste autant car ayant grandi dedans.
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